Seigneur et fondateur de la châtellenie de Marcoussis, seigneur d’Arpajon, surintendant des finances et grand maître d’hôtel du roi Charles VI.

Fille d’Etienne de la Grange, premier président au Parlement de Paris, nièce de Jean de la Grange, cardinal d’Amiens et Premier Ministre de Charles V et épouse de Jean de Montagu.

Seigneur de Marcoussis, vidame de Laon, était le fils de Jean de Montagu et de Jacqueline de la Grange. 

Chambellan et conseiller de Louis XI, nommé Amiral de France en janvier 1497 et Gouverneur de Paris en 1505, il est considéré comme le second fondateur de la seigneurie de Marcoussis.

Fille de Louis Malet de Graville et de Marie de Balsac, elle est enlevée et épousée par son cousin, Pierre de Balsac d’Entragues,  ce qui entraîna la colère de l’amiral de Graville son père.

Raimond Raguier était seigneur d’Orsay, conseiller du grand conseil du roi et maître de sa chambre des comptes.

Marquise de Verneuil, quelques mois après la mort de Gabrielle d’Estrée, elle devint la maîtresse d’Henri IV dont elle eut deux enfants (Gaston-Henri et Gabrielle-Angélique).

Veuve de Charles Louis Frédéric Cadot de Sebbeville, elle acquiert la terre de Marcoussis de Louise Jeanne d’Illiers d’Entragues et son époux Louis Auguste de Rieux.

Jean-Jacques Rousseau relate, dans « Les Confessions », livre VIII, qu’il s’est rendu plusieurs fois à Marcoussis, chez le vicaire Antoine Cordonnier de l’Etang, auquel il adressa une épître en vers.

Né à Paris en 1751, Armand Marc Chastenet de Puységur a été lieutenant d’artillerie en 1768 puis capitaine de cavalerie. Il devient colonel du régiment de Strasbourg en 1786 puis maréchal de camp en 1789.

Peintre et dessinateur français, il séjourna plusieurs fois à Marcoussis, au 41, rue Alfred Dubois, chez son élève Dumax où il peindra une vingtaine de toiles représentant des paysages de Marcoussis.

Victor-Adolphe Malte-Brun entre en 1851 à la Société de Géographie dont son père était un des membres fondateurs. Il dirige les « Annales des Voyages » et le « bulletin de la Société de Géographie ».

Né à Paris en 1821, il est interne des Hôpitaux de Paris de 1843 à 1846. Chef de clinique à la Faculté de l’Hôtel-Dieu de 1848 à 1850, il reçoit, en 1849, une médaille d’or pour services rendus au cours de l’épidémie de choléra.

Fils du chirurgien Auguste Nélaton (1807 – 1873), Charles Nélaton, devient docteur en médecine en 1880, après avoir présenté une thèse sur « les épanchements de sang, les plèvres consécutifs aux traumatismes ». 

Instituteur en poste à Marcoussis de la fin du XIXe siècle au début du XXe siècle, Charles-Adolphe Mercier a écrit une monographie manuscrite, non publiée, sur le village.

Il a consacré ses travaux à la photographie des corps célestes et fut Maire de Marcoussis à plusieurs reprises, entre 1894 et 1909. Il était également propriétaire du château de Marcoussis qu’il avait hérité de sa grand-mère.

Passionné d’histoire, Nicolas Roland Payen créé « L’Association des amis du château féodal de Montlhéry » et entreprend des fouilles et des travaux de consolidation de l’édifice. Puis, dès le début des années 1970, il décide de s’occuper du château de Montagu à Marcoussis.

Il écrit de nombreux poèmes et un livre : « Marcoussis, le village d’avant »,  paru en 1982, qui retrace le mode de vie local de la première moitié du siècle.

Raymond Chevalier était le directeur de la société de production florale Chevalier, installée sur le domaine de Bellejame depuis les années 1950 jusqu’en 1982.